Je parle de la tranche 15-24. Je ne sais pas combien ça représente 53% des 15-24 à 18h30. Je ne suis pas persuadé que cette tranche d'âge soit la plus grande pourvoyeuse d'audience. Si on me dit qu'il y a 2 millions de jeunes de cet âge devant la TNT et que la moitié regarde ITC alors bravo TF1 mais j'ai du mal à y croire.

L'émission fait de bons scores sur les cibles (notamment les moins de 34 ans) et le tournage ne coûte pas cher : tout est bouclé en une semaine, les décors sont utilisés par différentes versions dans toute l'Europe et la Mairie de Cannes met l'esplanade où a lieu le tournage à disposition de TF1 gratuitement. De plus c'est une prod TF1 Production donc pas de producteur indépendant à rémunérer plus ou moins grassement

Cet article du Parisien l'expliquait il y a quelques semaines : https://www.leparisien.fr/culture-loisi ... 7ZODY4.php

Avec :
Hélène de Fougerolles (Sam), Fred Testot (Xavier),
Amaury de Crayencour (Maxime), Chantal Ladesou (Anne-Marie),
Thierry Neuvic (Laurent), Charlotte Gaccio (Aurélie),
Fanny Gilles (Véronique), Noom Diawara (Damien),
Catherine Demaiffe (Nathalie), Kevin Dias (Alex) ...


Deux mois après son départ et alors qu’elle avait juré de ne plus jamais remettre les pieds au village … Sam fait son grand retour à Saint-Paul Le Truchon. Mais elle ne compte pas s’éterniser, elle a juste un petit problème à régler et elle repart fissa ! Sauf que… à son arrivée, c’est le chaos général !

L’école Valadier est privée de directrice et il manque (encore !) une prof.
Entre culpabilité et envie, Sam va rester et défendre à bras-le-corps l’école, menacée de fermeture depuis qu’Anne-Marie l’a vendue à son neveu, un jeune entrepreneur richissime et arrogant.

À l’approche de la cinquantaine, Sam, qui fait face à des bouleversements autant physiques que psychologiques, va avoir bien du mal à résister au sex-appeal du jeune homme. Mais qu’adviendra-t-il alors de sa relation avec Laurent, le beau maire du village ?

Impossible de lire l'article une fois encore car payant, et comme d'hab avec ce journal ils font des articles quils ne publient jamais dans le journal papier que l'on paye au prix fort un vrai scandale

« Ninja Warrior » : public fidèle, tournages peu coûteux… La bonne affaire de TF1

Bien que battue chaque semaine par France 3 et parfois France 2, l’émission avec son parcours d’obstacles continue d’être une aubaine pour la Une grâce à de nombreuses astuces.

Par Kevin Boucher
Le 11 février 2023 à 08h13

Un candidat parviendra-t-il à venir à bout du « parcours des héros » de « Ninja Warrior » ? Réponse ce samedi soir sur TF1, à l’issue de la deuxième partie de la finale de la 7e saison du jeu, animé par Denis Brogniart, Christophe Beaugrand et Iris Mittenaere (à 21h10).

Une édition 2023 dont les résultats d’audiences ont été mitigés, ne réunissant plus que 2,4 millions de téléspectateurs à date (replay inclus, à l’exception de la première partie de la finale), pour 13,5 % de parts de marché sur l’ensemble du public. Soit une baisse de 600 000 curieux en un an et le plus faible bilan historique.

Pourtant, si « Ninja Warrior » semble être en perte de vitesse, le divertissement continue de satisfaire son diffuseur, économiquement parlant. Officiellement, la une se refuse à tout commentaire. « Quiet period. ». Comprendre : aucune prise de parole sur un sujet autour de l’argent jusqu’à la présentation des résultats financiers du groupe en début de semaine.

En interne, on se réjouit cependant des résultats sur la cible principale : les femmes responsables des achats de moins de cinquante ans. Certes, le total est faible sur l’ensemble du public, mais les cinq premiers numéros de la saison affichent 25,3 % de part d’audience sur ce critère. Autant, au dixième près, que pour l’édition 2022 !
« Leur chance, c’est de fidéliser un public jeune »

Suffisant pour séduire les annonceurs et satisfaire la régie publicitaire. Ce samedi, le coût des trente secondes de publicité oscille entre 41 000 et 47 000 euros. Un chiffre moins élevé que pour la série « Balthazar » ce jeudi, qui atteignait les 80 000 euros, mais supérieur par exemple au prime time des « 12 Coups de Midi » de Jean-Luc Reichmann programmé ce vendredi.

« Ce n’est évidemment pas un match de football ou HPI, mais ça reste correct, analyse un concurrent. Leur chance, c’est de réussir à fidéliser un public jeune voire très jeune, qui boude de plus en plus la télévision. »

Dans les couloirs, on se félicite du succès de « Ninja Warrior » en matière d’écoute conjointe. À savoir la prouesse de réunir les (jeunes) parents et leurs enfants autour d’un même programme.

« Le problème, ce sont les publics plus âgés, glisse un cadre de la Une. On sait, en faisant ce genre de divertissement, qu’ils ne viendront pas. Alors on se concentre sur le public qui est là, et bien là. » Pour cause, samedi dernier, l’avant-dernier épisode a touché 43 % des téléspectateurs de 4 à 14 ans et 33 % des 15 à 34 ans.
Un budget maîtrisé

Et puis « Ninja Warrior », c’est aussi une économie parfaitement maîtrisée. Première chose : l’émission est produite en interne, via la filiale TF1 Production. « Autrement dit, on ne fait pas de gras ! » sourit un salarié. Tournée à Cannes au printemps, chaque saison fait l’objet d’une attention particulière… Portée surtout aux comptes.

Cette année, la production a aussi décidé de gratter encore un peu plus sur les coûts. Bien que filmée en une seule nuit, la finale a été découpée en deux émissions, programmées ces 4 et 11 février ! « Les investissements restent les mêmes mais les retombées sont doubles, c’est jackpot », analyse un autre producteur, qui a déjà eu recours à ce genre de manœuvre.
Une saison 8 en route, mais pas de déclinaisons

Ensuite, la municipalité de David Lisnard met gracieusement à disposition l’esplanade Pantiero pour y installer tous les ans les 7 000 m2 de plateau. « Et la police municipale dispose des jardinières autour pour la sécurité, précise un salarié. Mais attention, ce n’est pas propre à Ninja Warrior : ce genre d’accords existe aussi pour les NRJ Music Awards, par exemple. »

Quant aux obstacles, ils font le tour de l’Europe. Et évitent donc d’importants frais de construction et d’innovation.

Au sein de la direction des programmes de TF1, le renouvellement chaque année du format est rapidement acquis. Y compris pour 2024. Les équipes prendront la direction de Cannes, de fin mars à début avril, pour mettre en boîte la saison 8 du concours.

En revanche, pas question de tirer sur la corde. Selon nos informations, des déclinaisons ont été étudiées mais non-retenues jusqu’ici : d’un côté un « Ninja Family », qui aurait vu concourir des enfants sur un parcours adapté, de l’autre un affrontement entre des candidats français et d’autres du monde entier. « Peut-être plus tard, estime un proche des négociations. Pour l’instant, on se concentre sur ce qu’on a… En gardant quand même l’objectif de faire remonter les audiences. »

Le tournage de SAM saison 7 vient enfin de débuter , avec le meme casting sauf le remplacement de l'actrice principale évidemment et hélas le départ de Barbara Cabrita