Après concernant APOAL, la quasi totalité des candidats est de région parisienne. Le jeu étant en direct, il est compliqué pour les candidats venant de loin de rester sur place sans savoir pour combien de temps ils sont là surtout si ils ont un boulot et une vie de famille... À titre d’exemple, deux candidats sont encore présents depuis le retour du jeu sur C8 en mai.

Les émissions de plateau font partie de la dérogation du Ministère de la Culture au même titre que les tournages de séries et films. (Le Figaro)

Question que je me pose:
Pourquoi les fictions TV et les fictions Ciné sont mis au même pied d'égalité ?
Alors qu'en théorie, elles ne relèvent pas du même secteur, du même milieu (Télévision, d'un côté et Cinéma, de l'autre).

Au contraire, c'est le même secteur dit de la création.

Secteur qui ne comprend pas les émissions de flux ?

C'est différent car quand on parle de création, on parle de la création d'oeuvres (en l'occurrence des oeuvres audiovisuelles et cinématographiques). Les émissions de flux (sauf rares exceptions) ne sont pas des oeuvres. Dans la création, on a donc pour résumer :
- le cinéma
- la fiction TV
- le documentaire
- l'animation
- le spectacle vivant

Malgré l’accord du gouvernement, incertitude pour la suite des tournages des séries Newen (PBLV, DNA, ITC).
Le groupe ce réunit ce soir pour décidé de la suite ou non des tournages et par ricochets l’arrêt de la diffusion ou non : https://www.midilibre.fr/amp/2020/10/30 ... ssion=true

Étrange surtout que c’est le groupe qui hésite a continué le tournage..

Il y a le cas "La quotidienne"
https://www.ozap.com/actu/deux-semaines ... -19/597025
On peut aussi citer "La france a un incroyable talent", "Le meilleur pâtissier"... Les contaminations n'ont peut-être pas eu lieu sur les plateaux, mais cela montre qu'il y a toujours un risque.

Au temps pour moi. Mais en tout cas, ce n'est pas encore arrivé pour les jeux télévisés quotidiens.

Donc si j'ai bien compris, si on veut réformer l'audiovisuel dans son ensemble, par exemple, la création ne peut être concernée par cela ?
Et pourquoi justement n'a t-on pas inclus dans cette définition d’œuvres audiovisuelles, le flux sauf exceptions, comme tu dis ?

Cet article (un peu ancien mais toujours valable) répond à ta seconde question : http://archive.afsi.eu/node/2214
Les oeuvres audiovisuelles sont des programmes de stock qui ont donc une valeur patrimoniale contrairement aux programmes de flux, éphémères, qui n'en ont pas. Voilà pourquoi les pouvoirs publics sont davantage sensibles au soutien à la création en temps de crise comme celle que l'on traverse en ce moment.
Par contre, je ne comprends pas le lien que tu fais avec la réforme audiovisuelle dans ta première question.

Je sais pas trop si ça rentre dans le cadre de ce sujet, mais conséquence du reconfinement : les coupures pub de France Télévisions se remplissent à nouveau de beaucoup d'auto-promo comme au temps du premier confinement.
Je viens de voir il y a quelques instants sur France 2 des spots pour Okoo, franceinfo: et Culturebox dont je commence à connaître le texte par cœur à force !