Et on peut le retrouver où ce journal svp histoire de souvenir

J'aimais la caméra qui se déplaçait toute seule en fin de JT vers 2000. J'étais déçu lors de l'arrivée de Pujadas de la disparition du plan large à la fin. Et cet habillage avec le logo en blanc de septembre à décembre 2001 que j'associe toujours au 11 septembre.

Faut dire que Delarue avait aussi bien vidé la salle avec son gros flop en access à l'époque.

Merci à tou•te•s de nous (re)plonger dans l'histoire assez mouvementée du JT de France 2. Je me régale de lire ces anecdotes.

Quelques images inédites du nouveau plateau ce matin dans Télématin avant le grand lancement à 13H.
https://streamable.com/w2asah

Edit: mince FLoïc en avait déjà parler dans le topic du nouvel habillage info

Anais Baydemir vient même d'annoncer le nouveau décor à la fin de la Météo Climat.

Ah quoi va bien servir le monolithe Kubrickien présent dans le décor ?
Mais silence... ça commence !

Peut-être sert-il à diffuser des images d'illustrations avant la diffusion les reportages, c'est en tout cas comme ça que le 20h vient de l'utiliser à l'instant.
EDIT 20:56 ► Le totem sert aussi à annoncer le programme du soir.

Double-post pour annoncer le retour à l'instant de Damien Mascret au 20h de France·2, qui était donc en vacances, comme je le pensais.

Debout, comme une institutrice...
Ils ont enlevé le "tibidibidibidi" du début du générique. C'était mignon comme tout. Tant pis.
Je préférai le logo "20h" devant et pas sur le monolithe.

J'adore les plans large sur la journaliste, avec contre-plongée.

Duplex en regardant un écran, on le fait plus depuis La Cinq ! Si ?

https://www.youtube.com/watch?v=YZdyfXm-vQI

Bonjour

Au fait, lors de son dernier 13 heures en juin 2001, Gérard Holtz avait donné rendez-vous aux téléspectateurs dans 18 ans, puisqu'il avait quitté la présentation des journaux 18 ans auparavant. Il n'a pas tenu parole !
Son come-back a été un grand loupé, et ce n'est peut-être pas tant sa responsabilité qu'un certain verrouillage de ce que devait être le journal. Les premiers mois dans le décor "rideau de douche" étaient probablement plus intéressants car avec plus de monde en plateau et une dose de convivialité. Le passage au "chalet savoyard" a déjà isolé le présentateur, et la version sur fond blanc encore un peu plus.
Ceci dit, le duo "Carole et Rachid" m'avait paru prometteur... mais on ne leur a pas laissé le temps.

Pour en revenir à la nouvelle formule. A 13 heures, c'est toujours aussi léger (et Julian Bugier n'a pas renouvelé son catalogue de petites vannes), pour ne pas dire pauvre en contenu. A 20 heures, j'ai trouvé cela un peu désordonné. Ouvrir sur l'éboulement en Maurienne puis les intempéries à Majorque... et revenir dans le dernier quart du journal sur les feux de foret au Canada, si l'objectif est de démontrer par les faits l'ampleur du dérèglement climatique, autant grouper tous les sujets et montrer les différentes facettes du phénomène.

Qui plus est, j'ai eu l'impression que la part d'images provenant des réseaux sociaux a tendance à augmenter : ce n'est plus du reportage, c'est du commentaire.

Rémi

Pourquoi prendre des risques inconsidérés pour aller filmer les conséquences d'un phénomène si des vidéos d'amateurs permettent de visualiser le phénomène en lui-même ?
Les contenus issus de réseaux sociaux pour des évènements climatiques pris sur le vif sont devenus incontournables, qu'on trouve ça bien ou pas. Rappelons au passage qu'ils sont d'abord contrôlés par la rédaction, puis sélectionnés, et surtout montés, car on ne met jamais tout.
Quant à dire que ce genre de reportage revient à un simple commentaire, c'est un raccourci qu'il vaut mieux éviter de prendre, car il faut tout de même l'écrire, ce commentaire, ce qui n'est pas donné au premier venu, car un journaliste manie bien mieux le choix des mots (on y revient toujours) que le vidéaste qui prend les images avec une réaction à chaud parfois même un peu triviale, et ils sont bien souvent complétés par des interviews de spécialistes, il y a donc toujours de la matière, et pas juste un commentaire posé sur des images.

Je ne dis pas qu’il n’y a pas un travail mais je ne mets pas sur le même plan les deux formes. Il y a pour moi une différence assez nette entre le fait de rapporter plus ou moins habilement des faits vus par d’autre, tout en restant derrière un ordinateur à Paris et le fait de rapporter directement des faits quand on est sur place. Et pour moi, ce n’est pas la même qualification.

Rémi

Entièrement d'accord avec toi Rémi sur le fond. Le journalisme ne peut regagner en crédibilité s'il se contente de commenter des images de tiers (avec les risques que l'on sait à l'époque du deepfake). Le terrain, l'enquête, il n'y a que ça de vrai.

À vous entendre, on a l'impression que les JTs de France·2 sont devenus entièrement alimentés par les réseaux sociaux, sans enquêtes ni journalisme de terrain, mais cette vision que vous avez est complètement fausse.
Déjà, comme je l'ai dit plus haut, les sources de toutes les images sont vérifiées avant d'être utilisées, et si une source n'est pas fiable, ils ne l'utilisent pas, c'est logique.
De plus, et je l'ai dit aussi plus haut, le commentaire n'est pas systématiquement une simple analyse des images, il est complétés par des infos que les journalistes recherchent, il y a donc une certaine matière ajoutée au commentaire.
Le journalisme de terrain est bel et bien présent sur les JTs de France·2 avec le travail remarquable des envoyés spéciaux, notamment sur l'Ukraine depuis le début de la guerre.
Quant à l'enquête, elle n'a jamais été aussi présente sur la chaîne, notamment avec les magazines (Envoyé Spécial, Complément d'enquête, Cash Investigation), mais aussi avec 2 à 3 rubriques comme par exemple "Le panier du 20h" si ma mémoire est bonne.
Conclusion : si vous penser que l'info de France·2 a perdu en crédibilité, vous ne pourrez plus jamais faire confiance à personne.