La série n'était pas identifiée TF1, mais conçue pour et en partie par France 3...Cela serait illusoire de voir ce feuilleton identifiée "Service Public", aller sur une autre chaîne...D'ailleurs, ce qui m'interroge, ce que France 3 n'a plus les droits sur ce feuilleton...Le problème récurrent de Télévision Française où les programmes "n'appartiennent" pas aux chaînes, celles-ci ne sont plus que de simples diffuseurs !

Oui certes la série a été faites pour le service public mais quelle est la différence avec Demain nous appartient par exemple ?
En vraie va ne changerai pas grand chose qu’elle passe sur une chaîne privée. PBLV est produite par Telfrance qui apparaît à Newen qui appartient au groupe TF1 donc je pense pas que ça serait très compliqué de l’a diffuser sur une autre chaîne. Surtout que je pense que ça peut être une meilleure idée que les Mystères de l’amour niveau audiences meme si je pense le coût de production n’est pas le même entre les deux séries.

Ça veut plus vraiment dire quelque chose de nos jours "service public" ! Au mieux, on parle en cibles !

Sauf que c'était le cas, lors de la création du feuilleton...

Ça ne veut peut-être plus rien dire pour toi, mais pas pour tout le monde, alors pas de généralités sur ce sujet...

Mais du coup la question que je me pose est la suivante : En quoi cela empêcherai une série d’aller sur une chaîne privée alors qu’elle était sur le service public ?

Le service public il a bien reprit Les enfants de la télé qui était avant sur une chaîne privée et il me semble qu’au tout départ c’était déjà sur le service public puis après c’est passé sur TF1

Ne pas confondre producteur et diffuseur !

Enfin pour le cas de PBLV, je pense que ça pourrait passer sur une chaine privée franchement... il n'est pas identifié si "service publique" que ça.

Non, ce sont des thématiques qu'on ne retrouve pas sur une chaîne privée, qui étaient abordées au tout début !

Au tout début d'accord, mais aujourd'hui?

Oui, mais ce n'est pas pour autant que ce feuilleton soit diffusé sur une chaîne privée !
Dans ce cas, ce sera la même chose pour "Un si Grand Soleil" !

Si ils peuvent, pourquoi pas le faire? Alors oui ça a toute son histoire au moment présent sur le service publique, mais c'est pas pour ça que l'histoire ne peut pas continuer autre part.
Et puis pour le coup non ce ne serait pas la même chose pour Un si grand soleil, puisque c'est France.tv studio qui produit et France 2 Distribution qui distribue, alors que pour Plus belle la vie c'est Telfrance, filiale de Newen, elle même filiale du groupe TF1, donc plus facile pour eux de récupérer la série si ils veulent.

Les chaînes privées qui ne peuvent pas investir à perte dans un genre aussi coûteux que la fiction (en ce sens, le soutien à la fiction française est une mission de service public) achètent déjà des séries ou des téléfilms financés et diffusés par le service public. On le voit avec TMC et C8 qui ont racheté des fictions à succès de France 3 pour alimenter leur grille et atteindre ainsi leur quota obligatoire de programmes français. Il ne serait donc pas étonnant que PBLV soit un jour rediffusé sur une chaîne privée.
Par contre, envisager la remise en production de PBLV paraît complètement illusoire pour la raison que j'ai donnée au tout début de ce commentaire. Il faudrait mobiliser une trentaine de millions d'euros chaque année pour un feuilleton en constante perte de vitesse. Aucune chaîne privée n'aurait les reins assez solides pour cela.

Que ça te plaise ou non, on parle de "cibles". Rien de plus. Ça ne veut rien dire "service public" de nos jours !

Je n'arrive guère à décrypter votre débat. Parler de "cibles" n'a pas plus de signification que d'accoler le qualificatif de "service public" à "Plus belle la vie". Il me paraît clair que "Plus belle la vie" pourrait sans problème trouver sa place sur une chaîne privée. Mais d'un autre côté, encore faut-il pouvoir assurer le financement. Or, c'est compliqué pour une chaîne privée d'investir dans de la fiction tant le processus de production est lourd et coûteux. Le soutien à la fiction française reste donc une mission de service public qui assure plus de la moitié de la production en France. Elle est là la signification.